Dans la famille Suzuki , je voudrais ...

Rappel du premier message :

Une youngtimer !

C'est chose faite depuis ce jour , je suis allé ce matin à Strasbourg en TGV pour revenir avec cette mobylette :






1999 , 28000 km et pas une ride !!!
Ça m'a rajeuni de 20 ans .....
Pour rouler à 80 kmh , c'est pas mal quand même le 4 cylindres , archi souple et zone rouge à 12000 trs......
Mais Dieu qu'il a fait chaud pour faire les 350 km !!!

Non :
Tu mets en pression en tournant 1/4 de tour et ça "arrose" pendant quelques minutes.
Si tu veux arrêter avant , tu tournes 1/4 de tour dans le sens inverse et basta

Le principe n'est pas une lubrification de quelques gouttes en continu comme le Scott, mais un peu comme une bombe , tu "arroses" régulièrement - la notice préconise à chaque plein - soit environ tous les 300 km ...

Ok ! C'est clair.
Le truc est vraiment pas mal pesé, alors

Pesé ou pensé ?

Kit monté et mis en pression....Mais comme j'utilise de l'huile de pont (80w90) bien épaisse , ça mettait un temps fous pour purger...
Du coup au lieu de mettre en pression 1/4 de tour par 1/4 de tour , j'en ai fait 3 d'un coup et bien sûr après ça ne s'arrêtait plus de couler malgré un dévissage pour faire tomber la pression !
J'ai mis un bocal dessous pour la nuit , on verra demain pour ajuster si besoin...

Le truc de faire baisser la pression ne fonctionne pas, alors ?

En utilisant la même huile je n'ai pas eu ce problème, mais il faut dire que je n'ai que 20 cm de tuyaux avec juste un petit coude.

Si il fonctionne mais avec l'inertie dûe à l'huile épaisse ....
Bon ce matin à peine 5 ml dans le bocal et ça ne coule plus donc reste à tester en "live" .....quand il fera beau !

Petite question: pourquoi utiliser de l'huile de pont plutôt que de l'huile
moteur ou de l'huile de chaîne pour tronçonneuse ? Cette dernière solution était utilisée par Pat (et d'autres, je pense) pour son Scottoiler. Sur la VStrom, sa chaîne avait tenu plus de 60 000 bornes.

Paske moi je suis bête et discipliné (35 ans d'armée ça laisse des traces). Le fabricant de ce truc, préconise de l'huile de transmission 80W90, donc moi je mets de l'huile de transmission 80W90 et puis ce n'est pas plus cher

Oui mais tout dépend des bidons que tu as au fond du garage

Alors au fond de l'atelier jardin, il y a un bidon d'huile de tronçonneuse pour la tronçonneuse, un bidon d'huile moteur pour la tondeuse, dans l'armoire moto du garage, un petit bidon d'huile moteur pour les motos et maintenant un petit bidon d'huile de transmission pour la chaine de la T120. Dans le coffre du SUV, un petit bidon d'huile moteur pour le SUV . sinon j'ai aussi 2 bidons de liquide de refroidissement et 1 de lave-glace, mais ceux là ne lubrifient pas bien les chaines
J'ai aussi de la graisse de chaine en bombe pour les chaines des vélos. Chez moi, chaque chose a son produit et inversement. Pas de place pour l'improvisation

Pourquoi ça ne m'étonne pas ?...

80w90 (et avant d'avoir lu la notice... ) parce qu'elle est plus épaisse : si tu mets une dose en pression avec une huile filante comme celle de la tronçonneuse , tu vas avoir tes 5 ml qui vont couler en 15 secondes et la chaine n'aura pas le temps d'être correctement lubrifiée (car je te rappelle que ce n'est pas une lubrification continue comme le Scott , qui lui aura besoin d'une huile fluide du coup)

CQFD ?

Voici qui éclaire ma lanterne. C'est logique.

Au bout du compte, sans négliger la facilité de montage de votre capitaine graisseur Nemo, il faut reconnaître un gros avantage du Scottoiler: on peut y recycler tous ses fonds de bidon, huile de tournesol itou, pour lubrifier la chaîne

Oui Thierry mais si j'en crois ce que disent les utilisateurs de ce scott, il faut passer des heures pleines à regler le débit chaque fois que tu changes de fluidité d'huile, fluidité qui varie suivant la température externe. Avec le némo, rien de tout ça puisque c'est le volume qui entre en jeux.

Jean-Philippe, je te rassure: pour avoir monté et apprécié le Scottoiler sur la Versys et la Bonneville, je ne peux que souligner sa facilité de montage et sa simplicité d'utilisation. La lubrification se fait en roulant, de façon constante, graissant bien la chaîne sans "clasher" d'huile la jante arrière.

Je règle le débit une fois pour toutes, via une mollette présente sur le réservoir d'huile, en recourant à de l'huile suffisamment fluide (huile moteur jusqu'ici, sans doute huile de chaîne de tronçonneuse ensuite).
Chez Scott, ils prévoient deux types d'huile, selon la fluidité requise, la bleue et la rouge. Je m'épargne ces subtilités... et ces dépenses

Quel que soit le graisseur, il convient de s'assurer régulièrement du bon fonctionnement du système: huile dans le réservoir (ben oui...), durite bien arrimée et buse toujours en place sur la couronne (et non bouchée).

Je confirme.
J'imagine bien que quelques maniaques anxieux puissent passer des heures à régler le bouzin à chaque variation du thermomètre... Mais en fait il y a une belle marge de tolérance. Avec deux repères sur le bocal on sort sans souci.